Réalisée en 2022 par Della Mancha, cette fresque à été financée par la ville de Locminé, Bretagne Sud Habitat et un partenaire privé.

Elle a pour but de présenter l'identité culturelle de la Ville.

Retrouvez ci-dessous les références des tableaux présents sur la fresque.

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Locminé, fief des marchands de bestiaux

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On en comptait 150 en 1930, 25 en 1974, un seul aujourd’hui. Pendant de multiples années, les marchands de bestiaux ont fait la renommée de Locminé.

On se succédait de père en fils. Très tôt, le jeune prenait les manières du père. Le geste pour toucher la bête, la voix cassante, un rien ironique, pour parler aux bêtes comme aux hommes. Le jugement et l’œil pour ne se tromper sur rien.

Depuis la fin du 16ème siècle jeudi à Locminé était jour de marché : aux vaches, aux veaux, aux cochons sans oublier la réputée foire aux chevaux qui avait lieu le deuxième jeudi de mars. Pendant des lustres, Locminé pouvait revendiquer le titre de meilleur marché aux bestiaux du Morbihan. Il se tenait sur la Plaine ou place du Champ de Foire aux abords de la chapelle Notre-Dame-du-Plasker.

Mais l’urbanisation et l’essor de l’automobile provoquent le transfert des marchés aux vaches et aux cochons place de la Gare où se trouve aujourd’hui la médiathèque. Le conseil municipal du 25 mars 1966 décide « la création d’un foirail moderne » qui est inauguré le 10 septembre 1967.

En 1972, le foirail est couvert et en 1985, un marché au cadran y est installé. En 2001, c’est une médiathèque qui sort de terre. La culture a supplanté l’agriculture…

 

Un cinéma à Locminé depuis 1921

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Le cinéma apparaît à Locminé en 1921. Une salle des fêtes-cinéma est alors bâtie par la société « Le film locminois » sur la place de la Victoire (aujourd’hui place du Menhir de la Résistance) avec l’aide de la commune. Une séance de cinéma y est donnée chaque dimanche soir au profit de la commune jusqu’au printemps de 1928.

Le cinéma tombe ensuite dans le giron de la paroisse. En 1965, le Ciné-Lux enregistre 24 097 entrées. Dix ans plus tard, la fréquentation est en sérieuse baisse avec en 1975 un peu plus de 10 000 entrées. Confort de la salle, qualité de la programmation des films : le cinéma de Locminé a besoin d’un coup de jeunesse.

Il sera donné par Georges Kerlaud qui crée en 1978 une nouvelle salle « Le Club » offrant de bien meilleures conditions de confort et une programmation qui colle le plus possible à l’actualité. Les amateurs de cinéma reviennent en nombre et les projection « art et essai » attirent de plus en plus de cinéphiles.

Mais suite à un changement de gérant, le Club va connaître des difficultés de fonctionnement. Fin 1992, une association est créée sous l’égide de la municipalité. Le Club est sauvé.

30 ans plus tard, Le Club fonctionne toujours sur une forme associative. Le cinéma locminois se porte bien malgré la pandémie qui a sévi durant deux années. Le confort de la salle est apprécié et la programmation n’a rien à envier aux cinémas des grandes villes. En 2011, 37 748 entrées sont enregistrées, un chiffre approché en 2019, 36 531 ! 

 

Les Chouannes ambassadrices du pays de la Maillette

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C’est le 19 mars 1968 que le club artistique Les Chouannes voit le jour sous l’impulsion de Robert Sales et de son épouse. La nouvelle association est l’émanation de l’ancien Bagad Maillette fondé vers 1952 et s’appuie sur un style classique avec un défilé sur un pas cadencé derrière une musique enregistrée.

Mais en 1973, Robert Sales propose une mutation complète du groupe en prenant inspiration dans le folklore local. Les anciens costumes furent troqués contre une mini robe en velours. Les sonneurs qui accompagnent le groupe arborent une veste crème. Les Chouannes ne cessent de connaître un succès croissant amplement mérité.

Sous la houlette du président Joseph Bauché, le groupe « Les Chouannes » se développe encore, regroupant dans les années quatre-vingt 90 jeunes qui se produisant dans de nombreuses villes partout en France.

L’année 1979 est malheureusement marquée par le tragique accident de Bourges le 12 mai. Alors que le défilé du Corso Carnavalesque arrive à sa fin, une moto finit sa course folle après avoir franchi le dispositif de sécurité, fauchant plusieurs majorettes et sonneurs des Chouannes. L’accident cause la vie à une fillette de 12 ans de Bourges et fait 12 blessés, victimes de fractures aux jambes pour la plupart.

Après ce drame, les Chouannes repartiront de plus belle et leur renommée dépassera les frontières du Morbihan. Mais au fil des années, le groupe va connaître des difficultés de recrutement et l’association va se mettre en sommeil au début des années 2000.

 

La Kevrenn Bro Logunec’h transmet le patrimoine culturel breton

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En 1998, trois amis passionnés de musique traditionnelle bretonne décident un beau jour d'apprendre et de sonner les airs du terroir. Progressivement, leur action est popularisée par leur participation à des manifestations publiques. 

Créé en 1999, le bagad de Locminé est devenu, petit à petit, un vrai vecteur culturel dans le Centre-Morbihan. Il organise et participe à différentes animations pour promouvoir la culture bretonne. Aujourd’hui, la Kevrenn Bro Logunec’h qui évolue en 3eme catégorie compte une trentaine de sonneurs réunis en quatre pupitres : bombarde, cornemuse, caisse-claire et percussions. Chaque année ses rangs grossissent grâce à l’arrivée de jeunes sonneurs formés par les professeurs de Sonerion 56 et des bénévoles de La Kevrenn Bro Logunec’h.

La Kevrenn Bro Logunec’h a pour objectif la formation et la transmission du patrimoine culturel breton en permettant à ses jeunes musiciens de connaitre sa musique, de se l’approprier par la maîtrise de ses sources, et d’être un acteur vivant de son évolution et de sa pérennité.

 

L’abbé Laudrin a métamorphosé Locminé

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Né le 23 mars 1902 à Locminé, rue de la Mairie (une prémonition), Hervé Laudrin est ordonné prêtre en 1926. Après avoir suivi de brillantes études de philosophie à Angers, il revient en Bretagne et occupe un poste d’enseignant à Lorient.

Nommé vicaire de la paroisse Saint-Louis, il contribue activement à la création en 1935 du Cercle d’Education Physique de Lorient. Réformé, Hervé Laudrin participe néanmoins activement à la Seconde Guerre mondiale en s’engageant notamment dans les Forces Françaises Libres, ce qui lui vaut d’être décoré par le Général de Gaulle de la Légion d’Honneur en mai 1945 à Stuttgart devant 50 000 hommes de troupe.

En 1958, l’abbé Laudrin s’engage en politique et est élu député du Morbihan, fonction qu’il occupe jusqu’à sa disparition. Dernier ecclésiastique à siéger à l’Assemblée nationale, il s’investit également pour sa ville natale et devient maire de Locminé le 19 mars 1965.

Pendant 12 ans, « l’abbé », comme on le nommait avec respect, travaille à l’essor de sa ville tout en œuvrant comme conseiller général du canton de Locminé mais également en siégeant au Parlement européen.

Hervé Laudrin disparaît le samedi 19 mars 1977, la veille du deuxième tour des élections municipales alors que la liste qu’il conduisait était arrivée largement en tête au premier tour.

 

Saint Colomban, patron de Locminé

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Le moine Colomban est l’un des plus prestigieux pionniers de la civilisation occidentale au VIème siècle.

Il voit le jour aux alentours de l’année 540 dans le comté de Leinster en Irlande.  Vers 20 ans, il devient moine au Monastère de Bangor près de Belfast. Dans la tradition des moines voyageurs irlandais, il décide de s’exiler définitivement vers 585 et part avec 12 compagnons en direction du continent.

Ils débarquent à Saint-Coulomb près d’Alet (Saint-Malo), prennent la direction de Reims puis se fixent dans les Vosges saônoises à Annegray puis à Luxeuil où Colomban fonde une abbaye qui aura un rayonnement exceptionnel.

Colomban ne craint pas les conflits et se heurte alors durement aux dirigeants religieux et politiques de la Gaule, particulièrement au roi d’Austrasie Thierry II de Bourgogne et à sa grand-mère, la reine Brunehaut. Condamnés à l’exil en 610, Colomban et ses vieux compagnons irlandais entreprennent alors un périple de plus de deux années à travers les pays actuels que sont la France, l’Allemagne, la Suisse, l’Autriche et l’Italie, lieu de la dernière fondation, Bobbio, où Colomban achève son pèlerinage terrestre en 615.

Écrivain, Colomban a laissé des poèmes, des lettres et des sermons, où il se révèle homme de savoir, fréquentant les classiques grecs et latins. S’il n’est jamais venu à Locminé, ses disciplines qui ont créé le monastère en ont fait le saint patron de la paroisse où une partie de ses reliques furent déposées dans des conditions méconnues.

La fontaine Saint Colomban est située place Joseph-Richard. Les statues de Saint Colomban sont visibles à l’église Saint Sauveur et à la chapelle Notre Dame du Plasker.

 

Le « petit train » a sifflé pendant près d’un demi-siècle

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Le 14 juillet 1901, la gare de Locminé est inaugurée en grande pompe. C’est l’aboutissement de démarches qui avaient démarré 40 ans plus tôt, le conseil municipal ayant sollicité l’Empereur Napoléon 3 et le ministre des Travaux Publics pourque la ligne Auray-Napoléonville (Pontivy) passe par Locminé. En vain… la ligne, inaugurée en décembre 1864, traverse Baud mais évite Locminé !

D’autres projets tombent à l’eau avant la signature, en janvier 1898, d’une convention entre le Département et la Compagnie des chemins de fer d’intérêt local du Morbihan (CM). Le 1er septembre 1902 la ligne Locminé – Ploërmel est ouverte suivie de la ligne Locminé – Vannes le 12 octobre.

Locminé devient par la suite le centre le plus important du réseau ferré morbihannais regroupant une centaine de personnes travaillant à l’entretien du matériel et à son exploitation.

Mais au fil des ans, plusieurs accidents dont celui de Radenac en 1938 (trois morts, 42 blessés) amènent le Conseil général à envisager la suppression du « petit train » par paliers à partir du 1er juin 1939, sauf pour la ligne Locminé - Vannes - La Roche-Bernard.

Mais pendant la Seconde Guerre mondiale, le train sert à l’occupant allemand pour le transport de matériaux destinés à la construction du Mur de l’Atlantique.

Le 3 avril 1947, le Conseil général du Morbihan décide la fermeture définitive du chemin de fer d’intérêt local. Le « petit train » ne sifflera plus au pays de la maillette !

 

La Maillette symbole de Locminé

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Mais qui est-il donc ce clou mis à l’honneur dans cette comptine populaire chantée partout en France.

« Gais, sont, sont les « Gâs » de Locminé

Qui ont de la maillette

S’en dessus dessous

Gais, sont, sont les « Gâs » de Locminé

Qui ont de la maillette

Dessous leurs souliers »

Connue sur tout le territoire français et dans d’autres pays francophones, cette chanson aurait été interprétée au roi François 1er lors de sa visite en Bretagne en 1518 et de son passage à Locminé trois ans après son mariage avec Claude de France, duchesse de Bretagne.

Par la suite, la renommée de la maillette, clou inventé par un maître-ouvrier locminois, a dépassé les frontières de la Bretagne attirant notamment aux 18ème et 19ème siècles des marchands espagnols venus de Cordoue ou de Tolède.

 

Le Pigeon Blanc : des quadrupèdes aux bipèdes !

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Dédié depuis le milieu des années soixante aux footballeurs locminois, le stade du Pigeon Blanc a accueilli pendant de nombreuses années de solides quadrupèdes fort peu intéressés par le ballon rond.

En effet, en 1936, sur ce terrain situé à la sortie de Locminé, route de Vannes, se déroulent les premières courses hippiques. L’emplacement prévu par la société des courses, créée la même année et dont le siège se situe au restaurant du Pont-Coët, se situe à Lann-Vréhan. Mais le terrain est trop humide et le président, le docteur Chalonneau, jette son dévolu sur un espace agricole au lieu-dit le Pigeon Blanc.

Le 12 septembre 1936, la première réunion hippique attire des milliers de spectateurs. Les courses de Locminé sont bien lancées. Pendant de nombreuses années, elles seront un rendez-vous annuel apprécié des amateurs du grand Ouest.

30 ans plus tard, ce sont les footballeurs qui bénéficient d’un terrain flambant neuf entouré d’une piste d’athlétisme. Tribunes et éclairage enrichiront le complexe sportif qui permet également à trois autres disciplines (athlétisme, cyclisme, roller) de cohabiter en toute intelligence avec les adeptes du ballon rond.

 

Annick Pizigot, héroïne de « l’armée de l’ombre »

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Le nom d’Annick Pizigot évoque les heures sombres de l’occupation allemande durant la Seconde Guerre mondiale.

Annick voit le jour le 16 septembre 1924, rue de Verdun à Locminé où ses parents tiennent l’Hôtel des Voyageurs. En juin 1943, alors que l’hôtel familial est en partie occupé par des militaires allemands, elle entre dans la Résistance comme agent de liaison pour le Bureau des Opérations Aériennes (BOA) du Morbihan, effectuant notamment des transports d’armes.

Arrêtée avec ses parents par la Gestapo le vendredi 28 avril 1944 (vraisemblablement sur dénonciation), elle est tout d’abord interrogée et torturée à Kermaria puis transférée à la prison Nazareth de Vannes. Condamnée à mort, sa peine est commuée aux travaux forcés.

Annick Pizigot est ensuite dirigée au Fort de Penthièvre puis à la Citadelle de Port-Louis. Transportée dans la région parisienne puis en Allemagne, elle fréquente notamment le pénitencier féminin de Cootbus.

Transférée à Ravensbrück, Annick Pizigot est affectée au kommando Siemens, unité de production proche du camp.

Déportée ensuite au camp d’extermination de Mauthausen, elle est libérée par la Croix-Rouge le 24 avril 1945. Affaiblie, gravement malade, elle est hospitalisée à Saint-Gall (Suisse) où elle s’éteint le 26 novembre 1945, à l’âge de 21 ans. Sa dépouille mortelle n’arrivera en France qu’en janvier 1950. Annick Pizigot repose au cimetière de Locminé auprès des 25 Locminois, Martyrs du Fort de Penthièvre.

Une plaque commémorative est apposée sur l'hôtel que les parents d’Annick Pizigot exploitaient dans la rue qui porte désormais son nom.

 

La Maillette, la madeleine « made in Le Ster »

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C’est à Locminé que Jean Le Ster débute son histoire d’amour avec la pâtisserie. Inventeur visionnaire et passionné, son garage transformé en hangar-atelier lui faisait alors office de laboratoire.

C’est en fourgon qu’il partait vendre ses gourmandises à Paris. En 1965, il ouvre sa petite boulangerie, toujours à Locminé. Ses biscuits et pâtisseries se font vite un nom auprès de la clientèle locale. Mais c’est grâce à sa création signature « la Maillette » - inspirée du clou des sabots des Bretons et aujourd’hui communément appelée madeleine longue - qu’il va conquérir le cœur des Français.

Depuis lors, l’écosystème de fabrication Le Ster s’est naturellement étoffé, s’agrandissant de génération en génération au rythme de son succès, sans pour autant se délocaliser. Il a su garder cette âme artisanale malgré sa production sérielle. Cet esprit « comme à la maison » reste fidèle à la vision unique et généreuse de la pâtisserie du quotidien de leur fondateur.

Aujourd’hui, Locminé est un haut-lieu de la pâtisserie industrielle avec le groupe Goûters Magiques qui emploie plus de 250 salariés répartis sur ses deux usines : Le Ster et Gaillard.

 

La Gazette, un journal pour une information de proximité

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C’est le 20 février 1974 que sort le premier numéro de La Gazette Locminoise. Dans l’édito publié en première page, son fondateur, Gérard Lorgeoux, un imprimeur locminois qui avait créé son entreprise à la fin des années soixante, appelle les premiers lecteurs à participer à une entreprise « optimiste et passionnante » et à faire de ce journal « le reflet d’une région agissante et constructive. »

Mensuel au départ, La Gazette Locminoise couvre à ses débuts 13 communes : Locminé, Plumelin, La Chapelle-Neuve, Naizin, Réguiny, Remungol, Moréac, Pleugriffet, Saint-Allouestre, Bignan, Saint-Jean-Brévelay, Colpo et Moustoir-Ac.

Devenu hebdomadaire en août 1982, le journal change de nom l'année suivante et devient La Gazette du Centre Morbihan. Sa zone de diffusion va s’étendre et aujourd’hui elle est localisée sur les cantons de Locminé, Saint-Jean-Brévelay, Grand-Champ, Rohan, Baud et Pluvigner.  

Lire "La Gazette" en fin de semaine est devenu un rituel parfois en fumant la pipe tel le premier magistrat de la commune.

 

Charles Floquet et Jean-Etienne Picaut ont dépeint Locminé

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C’est au printemps 1995 qu’est paru « Locminé au cours des siècles », un ouvrage écrit par Charles Floquet. Ce Pontivyen, né le 16 août 1928, a fait la plus grande partie de sa carrière professionnelle comme contrôleur du trafic aérien dans l’aviation civile.

Attiré par l’écriture, Charles Floquet avait sorti un premier livre consacré à sa ville natale « Pontivy au cours des siècles ». Passionné par Sacha Guitry, il a consacré deux livres au grand auteur dramaturge français.

Durant sa très active retraite, Charles Floquet allait faire paraître pas moins d'une trentaine de livres et consacrer aussi bénévolement un temps considérable aux archives de la famille de Rohan à Josselin et à celles de la ville de Pontivy.

Originaire de Locminé, berceau de sa famille depuis 12 générations, Jean-Etienne Picaut a longtemps travaillé dans l’administration des finances. Colpéen d’adoption, il a notamment retracé l’histoire de ce bourg, créé sous le Second Empire, et de sa fondatrice Napoléone Baciocchi, nièce de Napoléon Bonaparte.

Il partage sa passion de l’histoire à travers la publication de monographies communales. Jean-Etienne Picaut a consacré notamment plusieurs ouvrages à Locminé : « Locminé – Par les rues et les sentes du pays de la Maillette », « Locminé, Kermaria – La Maillette dans tous ses états », « Locminé entre tourmente et espoir », « La rose et les barbelés », « Locminé autrefois – Au temps de la maillette ».

Ces livres sont disponibles à la Maison de la Presse de Locminé.